Portrait : Simon Joufflineau

17 janvier 2018

Simon JOUFFLINEAU
ailier gauche – arrière gauche

Rencontre avec Simon : 1m78, 77kg, il est né le 7 février 1989

Tu joues avec quel numéro ?
Avec le 7, évidemment, c’est ma date de naissance.

A quel poste ?
Ailier en attaque, arrière en défense.

Définis-toi en un mot.
Positif.

D’où viens-tu ? Où as-tu grandi, où as-tu vécu ?
Je viens de Dieppe, en Haute-Normandie
[France], j’y ai vécu jusqu’à mes 18 ans. Ensuite, je suis venu à Bruxelles pour mes études de médecine. J’ai aussi vécu un an à Waterloo et un an à Nivelles pour me rapprocher de mon boulot à La Louvière sans m’éloigner trop de Kraainem. Et puis retour à Bruxelles, je vis à Schaerbeek aujourd’hui.

Que fais-tu dans la vie ?
Je suis médecin et je termine ma spécialisation en chirurgie orthopédique.

Comment en es-tu venu à faire du hand ?
Mon prof de sport avait monté une équipe de handball pour l’UNSS, je ne sais plus ce que l’acronyme veut dire
[Union nationale du Sport scolaire] et avec des potes on cherchait à pratiquer un sport collectif, certains avaient essayé le foot mais ils n’avaient pas aimé l’ambiance.

En quelle année as-tu commencé le hand ?
J’avais 8 ans.

Où as-tu joué avant d’arriver au HC Kraainem ?
Au DUC Handball, le club de Dieppe.

Pourquoi le HC Kraainem ?
Quand je suis arrivé à Bruxelles, je n’ai trouvé personne qui pouvait me renseigner sur le hand. Pour m’occuper, je faisais du mini-foot à Mounier et j’ai rencontré par hasard Gaël Vertongen, qui m’a parlé du HCK. J’ai regardé sur Internet, à l’époque, c’était juste un forum où s’échangeaient des commentaires drôles, ça m’a plu, je suis venu essayer et je suis resté. Ça ressemblait à Dieppe, c’était le même genre d’ambiance.

Le hand en un mot ?
Parfait.

Ton meilleur souvenir de hand ?
La montée en D2 nationale avec le HCK.

Ta principale qualité sur le terrain ?
Ma défense, j’ai beaucoup travaillé avec Ben.

Et dans la vie ?
Mon optimisme.

Ton principal défaut sur le terrain ?
Mes shoots de l’aile, ma technique n’est pas très bonne.

Et dans la vie ?
Ma tendance à la procrastination.

As-tu un grigri ? Un rituel avant de monter sur le terrain ?
J’ai plein de tics : je resserre mes lacets plusieurs fois jusqu’à ce qu’ils soient dans la tension parfaite, je m’habille toujours de la même façon, dans le même ordre, c’est moi qui donne l’échauffement et je donne les exercices toujours dans le même ordre, même chose pour mon échauffement personnel.

As-tu un talent caché ? Un hobby original ? Une passion bizarre ?
J’ai fait 10 ans de contrebasse et j’ai joué en orchestre. J’ai voulu intégrer l’orchestre de Louvain-la-Neuve quand je suis arrivé en Belgique mais les répétitions avaient lieu le mardi, jour d’entraînement de hand, et le hand c’est essentiel pour moi.

Que ferais-tu avec une baguette magique ?
La paix dans le monde.

Jaune ou bleu ?
Les deux. A Dieppe on jouait aussi en jaune et bleu.

La question de Bill : t’as jamais eu peur de coloquer avec des inconnus ?
Non, pas du tout, j’adore rencontrer des gens. J’étais en kot pendant mes trois premières années de médecine. Ensuite, on a pris une première coloc avec 4 potes. Et puis j’ai pris une coloc avec des inconnus pendant 1 an à Waterloo, et 1 an à Nivelles. C’était génial, j’ai rencontré des gens qui sont devenus de vrais amis. Mais c’est fini maintenant, je me suis installé avec ma compagne dans un appart.