Portrait : Zakaria Amarir

11 avril 2018

Zakaria AMARIR
pivot

Rencontre avec Zak : 1m79, 89kg, il est né le 12 mai 1984

Tu joues avec quel numéro ?
Avec le 11. J’aimais bien le 10 mais il était pris, alors j’ai pris le numéro suivant et j’ai bien joué, du coup je l’ai gardé.

A quel poste ?
Pivot.

Définis-toi en un mot.
En un mot ? Je ne sais pas.

D’où viens-tu ? Où as-tu grandi, où as-tu vécu ?
Je suis originaire de Casablanca, au Maroc, et ça fait huit ans que je vis en Belgique.

Que fais-tu dans la vie ?
Je suis des cours du soir de plomberie, sinon, je suis technicien de surface.

Comment en es-tu venu à faire du hand ?
C’est drôle. J’ai commencé parce que dans mon école, si tu faisais du sport le mercredi après-midi, tu ne devais pas aller en classe.

En quelle année as-tu commencé le hand ?
En 98 ou 99, quelque chose comme ça.

Où as-tu joué avant d’arriver au HC Kraainem ?
J’ai joué dans trois clubs au Maroc et à United Brussels ici.

Pourquoi le HC Kraainem ?
Parce que c’est une bonne équipe, avec une bonne ambiance et les moyens d’accéder à la D2.

Le hand en un mot ?
Air frais.

Ton meilleur souvenir de hand ?
Quand j’ai disputé la finale de la Coupe du Trône. C’est à la fois mon meilleur et mon pire souvenir parce qu’on a perdu.

Ta principale qualité sur le terrain ?
Mon agressivité.

Et dans la vie ?
Je suis bosseur.

Ton principal défaut sur le terrain ?
Mon agressivité.

Et dans la vie ?
Je réfléchis trop.

As-tu un grigri ? Un rituel avant de monter sur le terrain ?
Non, pas vraiment. Je lis parfois un passage du Coran mais ce n’est pas systématique.

As-tu un talent caché ? Un hobby original ? Une passion bizarre ?
Le bricolage. Je fais tout ce qui est bricolage chez moi.

Que ferais-tu avec une baguette magique ?
Je retournerais dans le passé jouer avec mon équipe nationale.

Jaune ou bleu ?
Bleu. J’aime bien.

La question de Bill : quand est-ce que tu mets tes enfants au handball ?
Ils sont encore trop petits mais ils feront du sport, c’est obligé. C’est en faisant du sport que j’ai appris plein de choses et fait plein de rencontres. Mes meilleurs amis, je les tiens du handball et tout ça, c’est grâce à Abdmagid, mon entraîneur au Maroc.